Vivre mon métier

Gilles brûlait d’envie de devenir chauffagiste.

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Le Verviétois Gilles Léonard est chauffagiste indépendant depuis quatre ans.
“… On voit beaucoup de gens et on communique. On gagne aussi pas mal sa vie. On aura toujours besoin de chauffagistes. Même dans les maisons passives, car elles sont chauffées par ventilation. ”

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Le Verviétois Gilles Léonard est chauffagiste indépendant depuis quatre ans.

Gilles est content d’avoir opté pour le chauffage. Mais ce choix n’a pas été évident au départ. “Mes parents avaient entendu dire du bien de cette section (…). J’avais 14 ans (…). Alors, on m’a inscrit pour devenir chauffagiste et, au fil du temps, j’ai accroché et je me suis mis à adorer ce métier.”

Son ancien professeur témoigne : “C’est un métier en pénurie. Parfois, en 5e année, des entreprises viennent nous chercher des élèves. Dans la région, être chauffagiste, c’est une spécialité.” Le professeur explique cet état de fait : “la plupart des nouvelles technologies dans le domaine viennent d’Allemagne. Si on veut attaquer un pays avec une nouvelle technologie, on y entre via une région où l’on parle aussi l’allemand.”

Gilles a choisi de faire une 7e année professionnelle et de créer sa propre entreprise.

Un bon chauffagiste doit avoir certaines qualités, estime Gilles : “Les clients cherchent quelqu’un qui va les conseiller en bon père de famille. Il faut aussi pouvoir porter assistance aux personnes”. Tout n’est pas rose pour autant : “Il faut parfois partir le soir. Mais on sait qu’on va rencontrer quelqu’un et qu’on pourra l’aider…”.

(D’après Y. B., La Meuse)

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