Vivre mon métier

Céline Born a trouvé sa voie auprès des résidents
en maison de repos.

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A l’image des infirmières, les aides-soignantes sont plutôt recherchées sur le marché de l’emploi. Ce sont deux métiers très proches. La seule différence réside dans le fait que les aides-soignantes ne posent pas d’acte médical.

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Céline Born a trouvé sa voie auprès des résidents, en maison de repos.

Céline, une jeune Welkenraedtoise de 21 ans, a rapidement su l’orientation qu’elle voulait donner à sa carrière : après les stages qu’elle a suivis en 4e année, elle a choisi de devenir aide-soignante. Depuis deux ans, la formation passe nécessairement par une 7e année professionnelle.

« J’adorais mes études. En parallèle, j’ai travaillé comme étudiante durant les week-ends et les vacances là où je suis maintenant engagée. »
« J’ai envie de donner l’amour que je peux aux personnes âgées, de leur tenir compagnie (…). J’adore m’occuper des résidents et je les considère tous un peu comme mes grands-parents (…). »
Quant à son choix de travailler en maison de repos : « Il y a plus de contacts et c’est là que je voulais travailler (…) ».
Les qualités requises pour se lancer dans le métier ? « Je pense qu’il faut une capacité d’écoute et de la patience. »
Et sur le terrain, comment ça se passe ? « Je travaille soit le matin, soit l’après-midi. Il y a les soins, les toilettes, les repas, les rapports, … (…) ».

« Ce qui est sûr, c’est que je veux continuer dans ce domaine » assure Céline qui, visiblement, s’épanouit dans sa profession.

(D’après Y. F., La Meuse)

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Jérémymaçon Benjaminfraiseur Régisélectricien Julienmenuisier-ébéniste Audreyélectricienne automobile Quentinsoudeur Célineaide-soignante Evangelosmécanicien automaticien Gilleschauffagiste Johnnycouvreur